1. |
Le jeu
04:07
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Le jeu
Il y a des solitudes qu’on ne voit pas, des silences perdus qu’on n’entend pas, il y a ceux, ceux qui se trainent
et à ce jeu, ceux qui se blessent.
Il y a des sacrifices qu’on n’ressent pas, des visages durcis qu’on oubliera.
il y a ceux, ceux qui s’en prennent
et à ce jeu...ceux qui prennent...
Et si tout ça, si tout ça, si tout ça tout ça n’était qu’un jeu, où chacun se déplace, sans tour aléatoire.
Et on y va, on y va, chacun voulant la place,
du gagnant victorieux écrasant ceux qui passent.
Et si tout ça, si tout ça, si tout ça, tout ça n’était qu’un jeu où chacun se déplace priant sa bonne étoile,
et on y va, on y va, on y va, jouant à pile ou face
tous nos moments heureux, pour gagner la bonne place...
Il y a les vaincus, qu’on laissera,
des lumières brillantes qu’on éteindra... il y a ceux, que le vent mène
et à ce jeu chacun sa peine...
il y a ceux que le vent mène
et à ce jeu chacun sa peine...
Et si tout ça, si tout ça, si tout ça, tout ça n’était qu’un jeu, où chacun se déplace, sans tour aléatoire.
Et on y va, on y va, on y va, chacun voulant la place,
du gagnant victorieux écrasant ceux qui passent.
Et si tout ça, si tout ça, si tout ça, tout ça n’était qu’un jeu où chacun se déplace priant sa bonne étoile,
et on y va, on y va, on y va jouant à pile ou face
tous nos moments heureux, pour gagner la bonne place...
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2. |
Je resterai
02:41
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Je resterai
Sur la rive immortelle dans mes yeux a jamais dans la nuit qui s achève je resterai.
Sur la rive éternelle
dans mon cœur a jamais
dans le jour qui se lève
je resterai.
Comme un chant qui résonne
dans la confiance absolue,
je me glisserai comme une ombre
quand tu te sentiras perdue.
Mon idylle, ma beauté, mon amour absolu
ma lumière de l’été quand tu t’sentiras perdue. Passent les jours, passent les nuits blanches,
là comme une louve, là comme un ange
je resterai là, je resterai... là.
Et si le vent se lève
dans mon âme a jamais
près de toi maternel,
je resterai.
Prends ta part de ce ciel
même au bleu délavé
tu ouvriras tes ailes,
moi j’resterai,
Comme un chant qui résonne
dans la confiance absolue
je me glisserai comme une ombre
quand tu te sentiras perdue.
Mon idylle, ma beauté, mon amour absolu,
ma lumière de l’été quand tu t’sentiras perdue. Passent les jours, passent les nuits blanches,
là comme une louve, là comme un ange
je resterai là, je resterai... là.
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3. |
Fleur de peau
03:32
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Fleur de peau
Dès le soir à la lune pleine le cœur au ciel, je rêverai... A une aurore qui se lève,
à mon amour, inoublié. Mais la nuit devient cruelle et l’aube tarde à arriver. Les souvenirs se déchainent et je me saoule à espérer...
Que pour rien, pour rien au monde tu aurais oublié,
pour rien au monde...
Non, pour rien au monde
ta fleur sur l’oreiller, pour rien au monde... Ta fleur de peau...
Dès que d’autres bras s’entrouvrent
que le soleil vient m’enlacer,
dans tous ces murmures qui m’entourent ma voix se brise à espérer.
Que pour rien, pour rien au monde tu aurais oublié,
pour rien au monde..
Non pour rien au monde,
ta fleur sur l’oreiller, pour rien, au monde... Non pour rien au monde tu aurais oublié
pour rien au monde... Ta fleur de peau...
Dès que les pages se referment
le cœur aux anges je rêverai,
au doux parfum éphémère
d’une fleur de peau sur l’oreiller... Au doux parfum éphémère
d’une fleur de peau sur l’oreiller...
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4. |
Loin
03:32
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Loin
Loin de tout, loin du monde, loin du naufrage, quand la tempête gronde au loin le large. Loin des clowns délirants, hurlant leur rage. Loin des menteurs sifflants la foule en larme
Loin des ombres, loin d’ici,
au plus loin, je m’enfuis
au bout du monde je m’enfuis, au bout du monde.
Loin des ombres, loin d’ici,
au plus loin je m’enfuis,
au bout du monde,
une part de ciel, un gout de miel, un gout de miel...
Loin des loups, loin d’la folie meurtrière,
loin des coups étranglant genoux à terre.
Loin des voleurs de vie créant la fièvre
qui assènent a tout va du vent du rêve.
Loin des cracheurs de haine, cracheurs de flamme attisant la colère, sans fond, sans âme.
Loin des ombres, loin d’ici,
au plus loin, je m’enfuis,
au bout du monde, je m’enfuis, au bout du monde.
Loin des ombres, loin d’ici,
au plus loin, je m’enfuis,
au bout du monde,
une part de ciel, un gout de miel, un gout de miel...
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5. |
Rayon vert
03:47
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Le rayon vert
Viens je t’emmène sur la falaise, dans le vertige, juste un instant, quelques secondes éphémères, à attendre le rayon vert.
Viens suis mes pas dans la bruyère, et là respire, juste un instant.
Assis toi face à la mer,
à attendre le rayon vert.
A regarder voler les oiseaux,
de passage dans le ciel.
A regarder les lumières sur l’eau, du bleues au rouges sur la mer. A regarder voler les oiseaux
de passage dans le ciel,
à regarder les lumières sur l’eau du bleues au rouges sur la mer.
On se regarde et on chavire
sur cet océan de couleur,
et dans l’attente on le respire.
On se regarde et le désir
qui verra naitre la lueur,
viendra, nous toucher en plein cœur.
Viens je t’emmène ouvrons nos ailes, en équilibre, juste un instant,
quand le soleil se noie en mer
à attendre le rayon vert.
A regarder voler les oiseaux
de passage dans le ciel,
à regarder les lumières sur l’eau du bleues au rouges sur la mer, à attendre le rayon vert...
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6. |
Sans Toit
03:25
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Sans toit
Le fleuve
est si beau
à la tombée du jour,
dans les
reflets de l’eau,
une étoile,
mon amour.
les courants
les emportent
tous ces petits riens
de toi.
Là,
face à ta porte,
sans toit,
tombe le froid... la, la, la... Sans toit, sans toit, sans toit, tombe le froid... la, la, la...
La ville
se réveille
quand tu passes
devant moi,
je danse,
je t’emmène,
là, je n’ sens plus le froid.... La, la, la... Sans toit, sans toit, sans toit,
tombe le froid... la, la, la...
Tes pas me réveillent
quand tu passes devant moi,
ton sourire
qui m’emmène,
là, je ne sens plus le froid... la, la , la...
Sans toit, sans toit, sans toit.... Tombe le froid...la, la, la...
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7. |
Avril
03:28
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Avril
Quand vient avril, quand vient l’instant, moments fragiles dans les courants. Quand vient avril
où, on s’est donné
ces instants magiques,
tant espérés.
Des souvenirs comme dans un rêve, avril comme un anniversaire.
Alors buvons, buvons à l’autre, Buvons à la vie, buvons à l’amour.
Quand vient avril
le temps se fige,
comme un désir
sur la cerise.
Quand vient avril
les oiseaux chantent
quand les sourires
se figent et hantent.
Des souvenirs comme dans un rêve, avril comme un anniversaire.
Alors buvons, buvons à l’autre, buvons à la vie, buvons à l’amour
et si demain, c’était hier
comme un tout premier anniversaire.
Quand vient avril,
la porte est close
prête a s’ouvrir
encore faut-il que l’on ose. Quand vient avril,
le temps s’arrête
prêt a offrir
son air de fête.
Des souvenirs comme dans un rêve, avril comme un anniversaire.
Alors buvons, buvons à l’autre, buvons à la vie, buvons à l’amour
et si demain, c’était hier,
comme un tout premier anniversaire.
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8. |
Sous
03:35
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Sous
Sous les assauts le sable sous ses dessous la rage d’être un peu vague a lame de fille faut passer femme
Sur le capot en flamme sous le désir en nage comme un oiseau en cage de fille faut passer femme
Sous les envies sous la tente ou dans un lit et sous l’ennuis saoule toi vite sous la pluie
Comme un oiseau sauvage dans un corps pris au sabre faut retenir ses larmes
la fille peut passer femme
Sous les envies sous la tente ou dans un lit et sous l’ennuis saoule toi vite sous la pluie
Sous les assauts le sable sous ses dessous la rage
d être un peu vague a lame de fille faut passer femme
Sous les envies sous la tente ou dans un lit et sous l’ennuis saoule toi vite sous la pluie
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9. |
Alone
03:24
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Alone
la lumière me réveille
au matin si nouveau,
là je n’ai plus sommeil
juste un rêve de trop.
Un pas, je sors et me laisse respirer ...
un pas dehors aux premières gelées
un pas au sort que l’on m’a jeté
un pas je donne mon corps à aimer
un pas dans la rue juste pour te trouver oh la la, Alone...
Ton appel me réveille
je m’enivre et docile,
je prends ma part de ciel
au présent si fragile,
un pas, je donne et te laisse m’emporter...
Un pas dehors aux premières gelées
un pas au sort que l’on m’a jeter
un pas je donne mon corps à aimer
un pas dans la rue juste pour te trouver oh la la, Alone...
un pas dehors aux premières gelées
un pas dans l’ombre que tu as laisse
un pas je cours pour te retrouver
un pas vers tes bras juste pour t’enlacer oh la la, Alone...
oh la la alone
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10. |
Je rêve
03:23
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Je rêve
Je rêve aux fines amantes celles qui se laissent aller, à vivre dans l’errance
de leur sublime été.
je rêve aux doux poètes aux rimes de l’humour ceux qui attisent la fête en jouant à l’amour...
Je rêve aux heures légères celles que j’ai effleurées, dans le fond des cuillères dans la rue désarmée.
Je rêve et je divague dans un ciel étoilé
où mon unique mirage est de pouvoir rêver...
je rêve au bel ami,
celui qui m’a laissé,
à vivre dans l’errance
et qui m’a oublié,
sur le trottoir... je rêve ... je rêve...
je rêve que je suis celle qui l’aurait tant aimé,
la blondeur éternelle celle qui peut vous briser.
Sur le trottoir... je rêve ... je rêve...
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11. |
Les amants
04:03
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les amants
Les amants font,
les amants sont, comme les vagues,
ils viennent, ils vont...
Des voix, des voix qui s’ensorcellent,
se laissent bercer par des chimères, s’embrassent, se rêvent et se dispersent, au moindre souffle, elles se désertent. Des mots, des mots qui les retiennent
le temps d’une saison qui se traine,
le temps d’un combat où les faibles
sans un mots s’accordent la double peine.
Des fois, des fois peut-être ils se souviennent ... Des fois, des fois peut-être ils se souviennent ...
Les amants font,
les amants sont, comme les vagues,
ils viennent, ils vont...
Des fois, des fois, peut-être ils se souviennent ... Des fois, des fois, peut-être ils se souviennent ...
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12. |
Lune
03:40
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Lune
La nuit je me révèle,
comme la lune au soleil,
l’obscurité m’émerveille,
je me sens belle, je me sens pleine.
La lumière me dessine
à tes yeux si divine,
ma face cachée reste dans l’ombre, laisse aux ténèbres mon côté sombre.
Et quand le jour se lève, invisible dans le ciel,
oh ! que la nuit revienne... Que la nuit revienne...
Dans la nuit je m’allume
comme un désir nocturne, épanouies, luisante, exquise,
je me sens pleine, je me sens libre. Brillante inaccessible,
un amour impossible.
Ma face cachée reste dans l’ombre, laisse aux ténèbres mon côté sombre.
Et quand le jour se lève, invisible dans le ciel,
oh ! que la nuit revienne... Que la nuit revienne... Que la nuit revienne...
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scande Lyon, France
« Fleur de peau » est leur 2ème album.
« Fleur de peau » is their second album.
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